Dans le coeur battant de Paris, un appartement retrouve sa splendeur d'antan

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La distribution pour le moins atypique de cet appartement n'a pas empêché Adrien von Saint-George d'en déceler le potentiel, alors en sommeil. Le directeur de l'agence immobilière Paris Luxury Homes était justement à la recherche d'un premier bien pour son concept "pied-à-terre collection" (la vente de prestigieux appartements parisiens préalablement rénovés par des architectes) lorsqu'il est tombé sur ce 83 m2 auréolé de poutres et de pierres. Son emplacement premium dans le coeur battant de Paris, à deux pas du Centre Pompidou, répondait à l'un des principaux critères de ce nouveau portfolio ; mais de profondes transformations étaient nécessaires pour en faire un bien d'exception. La signature franco-italienne du Studio LF s'est naturellement imposée pour imaginer les contours d'un appartement (et par la même occasion d'un concept) aussi soigné que fonctionnel. Découverte d'une transformation orchestrée avec brio par les cofondateurs Luigi Fatigato et Laure Laouchez.

Un volume tout en longueur n'est jamais simple à appréhender - notamment lorsque les pièces en enfilade ne sont pas la seule problématique à contourner. Résultat d'une fusion entre plusieurs lots, et probablement entre deux immeubles distincts, cet appartement du marais présentait à certains endroits de surprenantes variations de niveau. Une contrainte qui avait encouragé de précédents propriétaires à installer les chambres dans ces recoins biscornus pour bénéficier d'un volume plus classique côté séjour. "Il fallait passer par la salle de bains pour accéder à la partie nuit, elle-même en enfilade, se souvient le Studio LF. Mais cette disposition était trop atypique pour permettre aux futurs acheteurs de s'y projeter sur la durée. Retravailler le plan nous a permis de dissocier les chambres et de transformer l'une d'elles en suite, comme le souhaitait notre client." Les travaux avaient en effet pour objectif de sublimer les atours anciens du trois-pièces, en proposant des aménagements sur mesure dignes d'un hôtel, qui épousent l'architecture singulière de cet immeuble bâti au 18e siècle.
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>> Le projet de rénovation en bref >> Le lieu : Paris 3e, à deux pas du centre Pompidou. La surface : 83 m2. La durée des travaux : 5 mois et demi. Le budget : 2400 euros du m2 (travaux, aménagements, décoration et mobilier inclus). L'idée : rénover un appartement biscornu en lieu de vie haut de gamme en misant notamment sur une nouvelle distribution des espaces, et en travaillant essentiellement sur des aménagements sur mesure.
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agrandir Valoriser les atours ancien du bien

1 - Valoriser les atours ancien du bien - Il suffit d'apercevoir les poutres ou les pierres de Paris qui habillaient déjà ce 83 m2 pour comprendre ce qui a charmé le directeur de Paris Luxury Homes. Il possédait en effet les codes architecturaux du Marais, un quartier où les immeubles datant du 18e siècle sont monnaie courante. Même si l'agencement laissait à désirer, il était possible d'imaginer un bel avenir pour cet appartement une fois rénové. Laure Laouchez et Luigi Fatigato se sont naturellement appuyés sur l'existant pour élaborer leur projet. Les cofondateurs du Studio LF ont ainsi choisi de conserver tout ce qui pouvait l'être, à commencé par les plafonds bardés de poutres. Leur teinte très foncée avait tendance à assombrir et à alourdir les pièces, notamment dans le séjour où il était impossible de les rater. Une couche de blanc fut choisie pour les intégrer au nouveau décor tout en améliorant la luminosité. Même constat pour les pierres de Paris, noircies par les années, et qui ont bénéficié d'un profond nettoyage pendant les travaux afin de retrouver leur couleur d'origine, un blanc tirant légèrement sur le sable. Un parquet assez clair fut ensuite posé dans l'ensemble de l'appartement. Les revêtements qui le composaient jusqu'alors manquaient de cohérence puisque d'une pièce à l'autre, la teinte comme la forme du bois était différentes. Les tomettes du salon étaient quant à elles trop abîmées et se sont donc endormies sous le nouveau parquet - une pose sans colle fut toutefois privilégiée pour offrir la liberté aux futurs acheteurs de retrouver le sol d'origine.

David Cousin-Marsy

agrandir Un défi technique à relever avant même d'investir le volume

2 - Un défi technique à relever avant même d'investir le volume - "Je pense que tous les problèmes que l'on peut avoir dans ce genre d'immeubles, nous les avons eus", souligne avec humour Luigi Fatigato. Il faut dire que l'appartement a réservé quelques (mauvaises) surprises à nos architectes d'intérieur. Le schéma électrique n'était pas suffisamment sécurisé, ne proposant qu'une seule ligne pour la plupart des équipements. Côté plomberie, les accès ont été modifiés pour permettre le déplacement des pièces d'eau, entraînant d'importantes percées. La terrasse installée au-dessus de la chambre a également causé des infiltrations d'eau que les ouvriers ont dû traiter aux prémices du chantier. Toutes ces corrections techniques ont naturellement allongé la durée des transformations mais étaient nécessaires pour assurer la pérennité du bien.
Il fallait ensuite trouver une astuce pour dissocier les deux chambres, installées en enfilade dans le plan initial. "Nous avons choisi d'investir une partie du séjour à cet effet, explique Laure Laouchez. La cuisine pouvait être facilement déplacée pour libérer un volume d'une dizaine de mètres carrés à côté de l'entrée, et ainsi donner naissance à la deuxième chambre."
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Studio LF

agrandir Soigner la séparation entre la nouvelle chambre et le séjour

3 - Soigner la séparation entre la nouvelle chambre et le séjour - Une séparation partiellement vitrée s'est donc installée à la place de l'ancien bar pour distinguer la pièce principale du coin nuit. Plusieurs facteurs ont motivé l'intégration d'une verrière dans le nouveau dessin du bien, au-delà même de la luminosité. Il était notamment important aux yeux d'Adrien von Saint-George de conserver de belles proportions dans la pièce de vie pour séduire les futurs propriétaires - la transformation de la cuisine en chambre ne devait en aucun cas défavoriser le séjour. Une verrière permettait de conserver un contact visuel et donc une impression de volume identique une fois les travaux achevés. La communication avec cette nouvelle chambre devait de toute manière être favorisée par l'aménagement puisque sa fonction est vouée à changer en fonction des propriétaires et de leurs besoins. Pourvue de son propre point d'eau, la pièce a acquis une certaine indépendance et peut aujourd'hui être utilisée comme chambre d'amis ou comme bureau.
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En photo : chaises Blaze par NV Gallery ; table de la gamme Steel Ceramic par XTONE
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David Cousin-Marsy

agrandir L'esthétique parisienne sublimée par le travail des architectes

4 - L'esthétique parisienne sublimée par le travail des architectes - Le Studio LF a volontairement proposé un dessin minimaliste pour que la verrière de la chambre s'intègre naturellement dans l'architecture ancienne du logement. Les aménagements ne devaient en aucun cas dénaturer l'existant, simplement les moderniser. Mais derrière l'allure épurée de cette séparation vitrée, se cache une petite particularité : la partie centrale peut s'ouvrir. Un détail qui a toute son importance puisqu'il assure la ventilation des deux pièces, tout en facilitant leur communication. Une impression renforcée par la présence d'un large miroir dans la salle de bains nouvellement créée. Ce dernier fut installé par les architectes d'intérieur pour étirer les perspectives du séjour et offrir aux futurs habitants une toile de fond plus dynamique qu'un simple mur. Dans son reflet, il est aujourd'hui possible de distinguer les immeubles qui s'élèvent juste en face, invitant une portion de Paris à l'intérieur de l'appartement. Car la rénovation avait aussi pour objectif de proposer un concept clé en main, où les aménagements évoquent par leur simple présence l'univers parisien. Une mission portée avec succès par le Studio LF qui a su intégrer des éléments aussi typiques que les moulures murales sans tomber dans le pastiche.
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En photo : applique noires Finlin 1.0 par Wever & Ducré

David Cousin-Marcy

agrandir Une zone de contact investie de menuiseries

5 - Une zone de contact investie de menuiseries - Le travail de Luigi Fatigato et de Laure Laouchez sur cet appartement du Marais a permis d'affiner les codes du concept "pied-à-terre collection", imaginé par l'agence immobilière du propriétaire. Les menuiseries sur mesure ont notamment contribué au rendu haut de gamme attendu dans les appartements de ce nouveau portfolio. Dans une construction où la plupart des parois ne sont pas droites, des caissons standards n'auraient de toute manière pu trouver leur place sans une montagne d'ajustements. Des aménagements comme celui de l'entrée permettaient surtout d'optimiser les mètres carrés disponibles. Ce dernier est rapidement devenu la clé de voûte du projet, celui autour duquel tous les éléments s'articulent. Point de contact entre l'entrée, le séjour et les espaces nuits, cet ensemble menuisé s'étend sur toute la largeur de la chambre, avec une partie bibliothèque apparente, mais aussi de nombreux rangements invisibles. Une robe légèrement grisée a permis de souligner sa présence (et donc son importance) au sein d'une enveloppe essentiellement blanche.
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David Cousin-Marsy

agrandir L'appartement souffrait de problèmes structurels

6 - L'appartement souffrait de problèmes structurels - L'appartement avait quelques soucis de structure, qui nécessitaient l'intervention d'un bureau d'études avant même d'envisager la réorganisation des espaces. Certaines poutres porteuses, fatiguées par les années, ont été renforcées pendant cette phase délicate. Un contre-temps qui a finalement eu des conséquences positives sur la conception - le poteau vertical qui entravait le salon est devenu inutile une fois les reprises techniques réalisées au plafond. La suppression du pilier a facilité les changements du plan, et notamment le déplacement de la cuisine dans l'ancienne salle à manger.

Studio LF

agrandir Mariage arrangé entre les (beaux) matériaux

7 - Mariage arrangé entre les (beaux) matériaux - "Au studio, nous avons l'habitude d'imaginer des projets épurés qui favorisent la déconnexion une fois qu'on s'y est installés. Comme nous baignons dans le mouvement Japandi, nous nous sommes vite retrouvés dans l'esthétique minimaliste et raffinée que recherchait le client. Il voulait notamment beaucoup d'éléments en bois pour compenser la dominante de blanc", précisent les architectes d'intérieur. La cuisine est un bel exemple de l'esthétique établie par les deux parties. Chaleureuse avec ses façades boisées, elle reste suffisamment sobre pour se glisser dans le décor parisien de l'appartement. En fin connaisseur de sa clientèle, le propriétaire avait également inscrit quelques touches de marbre et de laiton dans son cahier des charges, afin d'upgrader l'atmosphère. La cuisine s'est donc offerte une crédence marbrée, ainsi que des chaises au piètement doré qui reflète le moindre rayon de soleil.
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En photo : chaises Wayne par NV Gallery ; suspensions Beat Fat de Tom Dixon

David Cousin-Marsy

agrandir Une luminosité travaillée dans les moindres détails

8 - Une luminosité travaillée dans les moindres détails - Laure Laouchez et Luigi Fatigato ont travaillé avec précision l'éclairage du 83 m2. Si la rénovation des poutres et des pierres apparentes a permis d'améliorer la luminosité naturelle, il était essentiel de soigner la partie "artificielle" pour que l'intérieur reste lumineux et agréable en toute circonstance. La révision du schéma électrique était l'occasion d'intégrer de nouveaux points lumineux dans les cloisons, au sol comme au plafond. Des spots en saillie, et d'autres intégrés dans le parquet, permettaient notamment de souligner la pierre de Paris - tandis qu'un ruban quasiment invisible était plus adapté pour illuminer les caissons hauts de la cuisine.
Quand ils n'avaient pas pour vocation de valoriser l'architecture, les éclairages indirects ont été pensés de façon à porter notre attention sur des zones précises de l'habitation. Comme il n'était pas possible de multiplier les cloisons - sous peine d'étouffer l'appartement - les pro ont distingué les espaces grâce aux luminaires. Des suspensions au-dessus de l'îlot et de la table différencient ainsi les zones de repas du reste du séjour, quand de simples appliques suffisent à tamiser l'ambiance autour des couchages. Utiliser l'éclairage pour structurer un volume en longueur comme celui-ci permettait de le libérer des séparations superficielles qui l'auraient enfermé.

David Cousin-Marsy

agrandir Proposer un bien clé en mains

9 - Proposer un bien clé en mains - Le projet prévoyait une intervention complète, de l'aménagement à la décoration en passant par le choix du mobilier. Une liberté rare pour des professionnels qui doivent habituellement composer avec les goûts des particuliers, mais aussi leurs effets personnels à intégrer. Le Studio LF a donc pu élaborer avec son client les lignes d'une esthétique sur mesure où les beaux matériaux soulignent l'architecture d'exception de l'immeuble. Le bois et le marbre, instaurés notamment dans la cuisine, ont été couplés avec des tissus naturels comme le coton et le lin. Leur aspect texturisé permettait d'apporter une jolie finition à la palette de tons neutres privilégiée. Il fallait en effet trouver le bon dosage entre les différents matériaux pour faire forte impression sans empêcher les acheteurs de s'y projeter. De fait, les murs ont été largement conservés blancs (quand ils ne sont pas composés de pierres) pour maximiser la lumière et plaire au plus grand nombre.
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En photo : fauteuil Miami Vice par NV Gallery ; canapé trois places Kaufman par NV Gallery ; tabourets coffres Maisons du Monde ; tables gigognes rondes Boldin par Maisons du Monde
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David Cousin-Marsy

agrandir Une distribution inadaptée aux besoins d'aujourd'hui

10 - Une distribution inadaptée aux besoins d'aujourd'hui - La distribution atypique de l'appartement était principalement liée à ses différences de niveau. Quelques marches séparaient déjà le volume en plusieurs espaces plus ou moins spacieux lorsque l'agence immobilière a fait appel au Studio LF. Une particularité qui explique certainement pourquoi les précédents occupants avaient placé la salle de bains au premier plan, installant les chambres dans les zones occupées par des marches, et donc plus difficiles à meubler. La hauteur sous plafond limitée ne permettait pas d'aligner les différents niveaux, mais un nouvel agencement fut imaginé pour simplifier la circulation. Car il n'était pas question de conserver le passage existant par la salle de bains pour atteindre les différentes chambres du bien.

Studio LF

agrandir Les volumes atypiques du 83 m2 ont été largement exploités

11 - Les volumes atypiques du 83 m2 ont été largement exploités - Si elle est souvent considérée comme un défaut, la disposition en enfilade peut devenir un avantage dans certains scénarios. Elle a notamment permis d'intégrer une suite spacieuse dans ce logement atypique du 3e arrondissement. Les modifications de plan dans le séjour ont libéré une branche de l'appartement pour installer une chambre, un bureau, mais aussi un dressing donnant sur une salle de bains privée - soit un aménagement digne des plus beaux hôtels. L'architecture quelque peu biscornue a d'ailleurs permis de gommer toutes les portes au sein de cette suite. Les marches, et les éléments architecturaux existants, ont simplement délimité les espaces, qui conservent ainsi une communication fluide et permanente - la salle de bains fut par exemple installée suffisamment en retrait des ouvertures pour conserver son intimité sans faire appel aux portes. Tous les recoins, les renfoncements, les angles inutilisés ont ensuite été investis de tablettes ou de placards pour optimiser chaque mètre carré. Des rangements nomades risquaient en effet d'encombrer le passage, ne pouvant réellement épouser les murs irréguliers du volume.
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David Cousin-Marsy

agrandir Un bureau qui répond aux exigences du télétravail

12 - Un bureau qui répond aux exigences du télétravail - Intégrer un bureau dans la suite était certainement le meilleur moyen de libérer le séjour de cette fonction. Posté légèrement en contrebas de la chambre, cet espace de travail permettait aussi de faire le lien entre les extrémités de la suite. Son allure fut ensuite pensée pour répondre aux exigences actuelles du télétravail : le parquet et le plafond clairs ont maximisé la luminosité de cette zone moins bien exposée, et un mur de tasseaux a permis d'obtenir un fond aussi neutre qu'élégant pour les visioconférences.
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En photo : bureau Sterling par Maisons du Monde

David Cousin-Marsy

agrandir La chambre devenue dressing sous l'impulsion du Studio LF

13 - La chambre devenue dressing sous l'impulsion du Studio LF - "La deuxième chambre était située en fond de course dans le plan d'origine. Le problème c'est qu'une volée de marches et un poteau porteur rendaient impossible l'installation d'un couchage adulte, la pièce était donc présentée aux acheteurs comme une chambre mais uniquement pour enfants. Au vu de l'architecture, il semblait plus judicieux de la transformer en dressing pour étendre les perspectives de notre suite, et tirer réellement parti de ce volume en longueur." La forme couloir de cette ancienne chambre a naturellement inspiré nos architectes d'intérieur. Le mur latéral offrait une belle surface pour aménager les rangements qui faisaient jusqu'alors défaut. Difficile à meubler en raison de son arrondi, il fut recouvert de penderies sur mesure pour rééquilibrer les lignes du volume, mais aussi mettre en scène ce dressing d'exception. Les façades boisées ont d'ailleurs permis de dissimuler des éléments de buanderie avec élégance. La pièce en question était également la plus sombre de l'appartement - un travail important fut encore réalisé sur l'éclairage artificiel pour compenser cette faible luminosité, tandis qu'un large miroir s'est installé près de l'unique fenêtre pour maximiser l'apport de lumière.
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David Cousin-Marsy

agrandir Une suite cohérente de bout en bout

14 - Une suite cohérente de bout en bout - Le cheminement au sein du 83 m2 s'achève maintenant par la salle de bains de la suite. Son emplacement (légèrement en retrait du passage) permettait de l'ouvrir sur le dressing, sans craindre une perte d'intimité pour les futurs occupants. Il était important de rompre avec le plan très cloisonné d'origine pour fluidifier la circulation mais aussi souligner l'étendu de ce volume. Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si l'on retrouve les mêmes matériaux d'un bout à l'autre du logement, comme en témoignent les meubles en bois de cette salle de bains. Son carrelage à relief en grès cérame fut également choisi pour rappeler l'effet tissé des assises en lin du salon, et ainsi créer une continuité esthétique entre les différents espaces de vie.
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En photo : carrelage de la gamme Uniquestone fintion Weave par Ceramiche Piemme

David Cousin-Marsy

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